Des perspectives illimitées sont ouvertes à une personne moderne pour réaliser ses désirs et ses possibilités. C'est à cet état que la civilisation s'est efforcée. Cependant, chaque disposition a ses propres inconvénients. Pas quand dans l'histoire il n'y avait pas autant de traumatismes psychologiques et de pathologies qu'aujourd'hui. Les psychologues travaillent sans relâche, mais les résultats laissent beaucoup à désirer. Julia Borisovna Gippenreiter a consacré toute sa vie à l'étude de la psychologie humaine.
Le chemin vers la profession
Il y a une période dans l'histoire de la société russe où les gens ne faisaient pas de distinction entre un psychologue et un psychiatre. Nos compatriotes savaient par des livres, des films et des émissions de télévision que les Américains se tournaient vers un psychologue dans les moments difficiles. Bien sûr, ils vivent sous le capitalisme et il est difficile pour la personne moyenne de supporter le fardeau psychologique quotidien. Le professeur Julia Borisovna Gippenreiter traite toujours les patients qui lui viennent après de longs et douloureux doutes.
Pourquoi aller chez un psychologue? Je ne suis pas fou, j'ai juste mal à la tête. Il convient de noter qu'au moment historique actuel, la situation a radicalement changé et que les Russes ne diffèrent presque pas des Américains dans leur mode de vie. Le célèbre psychologue Hippenreuter a eu l'occasion d'observer le développement de nombreuses pathologies qui se développent sur une base sociale et psychosomatique. La biographie du médecin contient un grand nombre d'épisodes intéressants et dramatiques.
Julia Borisovna est née le 25 mars 1930 dans une famille intelligente. Les parents vivaient à Moscou. L'enfant était aimé et élevé avec sévérité. Des jeunes ongles habitués au travail et à la précision. À l'école, la fille a bien étudié. Elle était amie avec ses camarades de classe. Elle a regardé de ses propres yeux comment ses pairs vivent et de quelle carrière ils rêvent. Après avoir terminé ses études, elle est entrée au département de psychologie de l'Université d'État de Moscou. En 1953, elle a reçu une éducation spécialisée et est venue travailler à l'Institut de recherche en psychologie de l'Académie des sciences pédagogiques.