Soucieux des sentiments des autres, certaines personnes deviennent des aides sans problème. Mais en aidant les autres, ils oublient leurs propres affaires et intérêts. Vous devez apprendre à dire poliment «non» afin de préserver vos nerfs et de ne pas détruire les relations avec vos amis.
Manuel d'instructions
1
Rappelez-vous combien de fois on vous a refusé, combien de fois vous avez fait par la force ce que vous ne vouliez pas. Beaucoup commencent à utiliser d'autres personnes, réalisant simplement leur fiabilité. Branchez-vous sur ces pensées et comprenez que vous ne devez rien à personne et que vous pouvez dire non en toute conscience. Sachez qu'en refusant les gens, vous faites mieux pour vous-même.
2
Refusez poliment mais fermement. L'intonation ne doit pas être des notes d'excuses, coupables ou ingrates. Ayez confiance en votre voix afin que la personne à qui vous parlez ne puisse pas saisir votre jeu. Pour lisser la dureté, accompagnez l'échec d'un doux sourire.
3
Argumentez votre refus. Parfois, le simple mot «non» ne suffit pas à convaincre un interlocuteur persistant. Ajoutez une raison pour laquelle vous ne pouvez pas le rencontrer. Ne vous excusez pas, parlez calmement, expliquez simplement votre emploi à une personne.
4
Exprimez votre insécurité. Si on vous demande d'effectuer des travaux supplémentaires ou, par exemple, de vous aider à réparer, dites que vous ne pouvez pas le faire. Imaginez que vous êtes mal versé dans de telles choses, que vous avez peur de faire une erreur et apprenez cela trop longtemps.
5
Dites ce que vous pensez, puis refusez. S'il vous est difficile de dire «non» aux yeux d'une personne, faites comme si vous hésitiez et que vous avez besoin de temps pour réfléchir. Après un certain temps, mais pas trop tard, appelez et dites que vous ne pourrez pas l'aider.
6
Suggérez une alternative. Essayez de savoir qui d'autre peut aider votre ami à résoudre son problème. Invitez la personne à contacter une autre personne qui connaît mieux les bonnes questions ou qui n'est pas très occupée par les affaires.
7
Ne succombez pas à la flatterie et aux tentatives de vous manipuler. Les compliments du pétitionnaire sur vos capacités et vos compétences ne sont qu'un moyen de vous faire faire ce qu'il veut. Rappelez-vous cela, merci pour les belles paroles, mais restez avec votre décision. L'interlocuteur peut essayer de faire pression sur la pitié, montrer de l'irritation ou être offensé, en essayant de vous manipuler, mais n'abandonnez pas et ne faites pas preuve de fermeté.